22 Janvier 2017
Lâcher prise, ce n’est pas se montrer indifférent, mais simplement accepter que l’on ne puisse vivre et agir à la place d’un autre.
Lâcher prise, ce n’est pas couper les liens, mais prendre conscience que l’on ne puisse contrôler autrui.
Lâcher prise, ce n’a pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher prise, c’est reconnaître son impuissance, c’est-à-dire que le résultat final n’est pas entièrement entre nos mains.
Lâcher prise, ce n’est pas blâmer ou vouloir changer autrui, mais donner le meilleur de soi-même.
Lâcher prise, ce n’est pas faire à la place des autres, mais se sentir concerné par eux.
Lâcher prise, ce n’est pas juger, mais acccorder à autrui le droit d’être humain.
Lâcher prise, ce n’est pas s’occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher prise, ce n’est pas materner les autres, mais leur permettre d’affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n’est pas rejeter, mais au contraire accepter, reconnaître.
Lâcher prise, ce n’est pas harceler, sermonner ou moraliser, mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s’en défaire.
Lâcher prise, ce n’est pas critiquer ou corriger autrui, mais s’efforcer de devenir ce que l’on rêve de devenir.
Lâcher prise, ce n’est pas adapter les choses à ses propres désirs, mais être dans l’accueil de chaque jour et l’apprécier.
Lâcher prise, ce n’est pas regretter le passé, mais vivre le présent et grandir pour l’avenir.
Lâcher prise, c’est avoir moins peur, et Aimer plus...